On a pris la décision de partir il y a déjà quelques mois, en juillet 2018. Très vite, on s’est documenté, j’ai fait la demande à mon boulot pour ce congé exceptionnel, on a fixé un premier jet pour l’itinéraire…
Et puis, plus grand chose. C’est trop tôt. On en parle beaucoup, mais toutes les choses concrètes que l’on peut préparer, rien ne sert de les faire trop longtemps en avance. Même pour l’itinéraire, entre les caprices de la météo, le climat politique très changeant, nos envies en suivant d’autres blogs, la place pour l’improvisation, on ne peut rien figer. Ça reste un projet lointain, un rêve…
Puis viennent quelques petites choses qui rendent cela réel. Je prends des cours d’espagnol. 5 mois de Skype, deux heures par semaine, une heure avec une péruvienne, l’autre avec une mexicaine. J’avance à toute allure, j’impressionne Anouck et m’épate moi-même. J’ai pu utiliser des heures de formation financées par le « CPF », en partenariat avec Lingueo.
Ensuite, j’ai acheté mon sac de voyage, un Deuter Traveller 70+10, idéal pour mes affaires plus celles des filles. Il s’ouvre comme une valise, est confortable comme un sac à dos, est solide et bien conçu. Il a un petit sac à dos qui se fixe facilement dessus, et qui servira pour les excursions lorsque nos affaires resteront à l’hôtel. On a identifié le sac d’Anouck, plus léger. Je lis énormément d’articles sur le matériel à emporter et je guette les promotions, Anouck est plus sur la découverte des pays et des choses à visiter. Encore un an à patienter.